Les Poulets Ont des Grandes Oreilles

Source de l’article: Hervé Ryssen

Nous avons appris ce jour que les mystérieux visiteurs qui sont venus frapper à notre porte au petit matin sont aussi allés voir la concierge de l’immeuble pour la rassurer. Il s’agissait donc bien de policiers, et non de malfaisants de la mafia tchétchène. Cependant, nous ne savons toujours pas de quelle brigade il s’agit et ne connaissons toujours pas leurs motifs.

D’autre part, nous avons reçu ce jour une convocation au commissariat pour un motif que nous ignorons encore. Un entretien téléphonique avec le lieutenant nous apprend toutefois que son service n’est pas à l’origine de la petite visite de mercredi matin.

On se souvient qu’en 2002, lors de l’affaire du curé Berger, c’était la brigade anti-terroriste de Bobigny qui était venue nous cueillir à domicile pour 48 heures de garde à vue. Après quoi, nous avions été placé sous contrôle judiciaire (un pointage hebdomadaire à la gendarmerie), et avions interdiction de rencontrer quelques complices, y compris un ami qui habitait alors à 150 mètres de chez nous, à Levallois. Quelques semaines plus tard, nous avions évidemment enfreint la consigne en allant sonné à son interphone. En tournant la tête, nous avions alors constaté qu’une jeune Antillaise était en train de nous prendre en photo, juste de l’autre côté de la rue. C’est dire que les flics de la République nous surveillent de près !

On peut donc légitimement penser que policiers qui sont venus à notre domicile ce mercredi 12 octobre sont des hommes du RAID, l’élite de la police. Nous avons effectivement avoué il y a quelques mois, sur notre blog, avoir été à l’initiative de la tentative d’assassinat de Jacques Chirac en 2002, avec notre complice Maxime Brunerie. Mais un différend sur le choix des armes nous avait violemment opposé. Maxime avait opté pour la 22, et nous-même préconisions alors l’utilisation d’un pistolet à plomb 4,5 mm semi-automatique à tirs croisés. L’affaire ayant été classée depuis longtemps, nous n’avons pas été inquiété.

En revanche, les super-flics du RAID ont sans doute été informés de notre projet de pulvériser cette grosse tantouze qu’est Bertrand Delanoë. D’où vient la fuite ? Qui nous a trahi ? Nous l’ignorons encore. Une seule chose est certaine : ce sac à sperme qu’est Delanoë a eu chaud aux miches. Mais ce n’est que partie remise !

Hervé Ryssen

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